En ce jour de printemps à n’y pas croire
Où la lumière me semble cascader
et se rouler
Sur le sol de ma chambre
Comme un chat fauve,
Aussi dense qu’une coulure de
lave,
Où je sens ma poitrine gonfler
Comme une pâte qui lève au four, dissolvant
même
Par son action, le noyau de glace
éternelle
Logé dans mon sternum,
En ce jour de printemps glorieux
Le mot qui germe dans ma poitrine
est :
Rebirth
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire