Prenons,
par exemple, un des derniers livres de Michael Connelly, Nine dragons. Ce n’est pas, il s’en faut, un de mes
préférés mais c’est quand même Harry Bosch et Connelly même s’ils se sont un
peu ramolli… Aussi bien Harry Bosch (le personnage principal) que Connelly. Je lis en effet
tous les Harry Bosch et tous les Connelly, dont la série des Mickey Haller :
c’est déjà en soi un mini-réseau mais assez élémentaire, je le reconnais. Le texte lui-même établit
aussi des connections. Il est évident que celles-ci sont multiples et ne
résonnent pas de la même façon dans l’esprit de tous les lecteurs. Chez Connelly
et de nombreux autres auteurs de romans policiers, la musique est très présente.
Ainsi Bosch écoute-t-il du jazz tandis que Wallander, le héro de Henning
Mankell dont on voit actuellement une excellente série sur TQC, est plutôt
porté sur le classique.

Photographing Annie Leibovitz while she is photographing me (ci-dessus).
Direction Leibovitz : je n’ai pas particulièrement « flashé » sur son travail mais j’ai trouvé d’elle une superbe photo par un certain John Keatley...
Je suis donc allée voir le site de Keatley… où j’ai trouvé de beaux portraits mais rien qui se compare à celui-ci.
Et pour revenir à Harry Bosch, voici un détail de La nef des fous de Hieronimus Bosch, le peintre auquel il doit son nom.


Et pour revenir à Harry Bosch, voici un détail de La nef des fous de Hieronimus Bosch, le peintre auquel il doit son nom.

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