Zola, Au bonheur des dames
Ch’ais pas comment ch’uis r’tombée sur Zola. J’avais ben lu Germinal au secondaire, pis Nana (je crois) et peut-être L’Assomoir, mais j’me souviens que de Germinal – comme un grand coup sur la
tête. Alors, ch’ais pas comment ch’uis r’tombée sur Zola ast’heure…
Mais en fait si, je le sais, c’est à cause de la série
anglaise The Paradise. Très bonne
série d’ailleurs, mais rien à côté du roman. Pa’c’que l’roman, c’est « gros » :
un monument, une cathédrale! C’est même tellement brillant, touffu, intelligent
(oserai-je sublime? grandiose?) que j’vous l’raconterai pas :
c’est pas résumable, pas plus que toutes les idées qui m’ont passées par la
tête… Ça f’ra p’t’êt’ ben un livre, ou p’t’êt’ un article, ou rien, mais…
LISEZ-LE!!!!
(ou relisez-le…)
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