Au diable les contraintes idéologiques du Nouveau Roman et/ou du
behaviorisme : peut-être ne sommes-nous pas Dieu mais il n’y a pas de
raison que nous ne puissions entrer dans l’esprit d’un personnage – et même de
plusieurs… Et tout ce qui peut rendre la
narration (et la lecture) plus facile/intéressante – voire thérapeutique – est
autorisé : une histoire d’alcoolique virant « su’ le top »
aurait pe été intéressante mais SK l’assaisonne de parapsychologie, de magie,
et plus... Un des avantages du procédé est qu’il peut inventer à peu près n’importe
quoi, un autre que c’est plus supportable à lire et plus palpitant que la
(triste) dégringolade d’un alcoolique, et le dernier qu’il n’a pas l’impression
de (trop) se déshabiller tout en y injectant une part consistante de son vécu.
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